Pâques : ses lapins en CHOCOLAT, ses cloches en CHOCOLAT, ses poissons en CHOCOLAT, ses tout-ce-que-vous-voulez en CHOCOLAT ! Notez que la première proposition allie deux de mes obsessions, je suis donc foutue, n’en doutez pas !
L’histoire du chocolat commence avec les peuples d’Amérique latine : avant de prédire la fin du monde pour décembre 2012, ils auront au moins fait un truc bien ! (NB : me baffrer de chocolat d’ici là, faut pas gâcher et on ne sait pas de quoi est fait demain… s’il y a un demain !)
Petit détail pour les zamoureux (NB : faites l’amour, pas la guerre, la fin du monde sera plus belle sous la couette que sous les balles !) qui s’offrent des chocolats à la Saint-Valentin (NB : cette fête a des allures d’étouffe-chrétien (muarf !) si on considère le nombre de boîtes de chocolat qui s’échangent ce jour-là !) ou pour autres occasions romantico-coquines, la seule chose aphrodisiaque dans le chocolat, c’est le geste de l’offrir et tout ce que cela promet ou sous-entend. (NB : ne souriez pas bêtement, vous m’avez parfaitement comprise !) Certes, le chocolat contient de la phényléthylamine, molécule supposée déclencher un comportement copulatoire (NB : vous voyez bien que vous aviez compris !), mais il faut consommer 100 kg de chocolat pour ingérer suffisamment de cette molécule pour se mettre en train. Mesdames et Messieurs, certes la beauté est intérieure, mais après un quintal de chocolat, votre Julie/Jules aura peut-être pris la poudre (de chocolat) d’escampette…
Alors, billevesée ?