Dahlia noir et rose blanche

Recueil de nouvelles de Joyce Carol Oates.

Dans cette compilation de textes publiés dans différents magazines et revues, vous trouverez :

  • Elizabeth Short et Norma Jeane Baker qui partagent une chambre dans un hôtel miteux ;
  • Une enfant qui se débrouille sans sa mère ;
  • Une enfant au corps couvert de bleus ;
  • Une remise de diplôme qui pourrait tourner à l’aigre ;
  • Un portefeuille perdu dans un train ;
  • Un oiseau piégé dans un aéroport ;
  • Un couple qui voyage en Italie ;
  • Des hyènes tachetées ;
  • Un homme qui suit un cours de biologie en prison ;
  • Des enseignants bénévoles en prison.

Des liens subtils se tissent d’une histoire à une autre. Il est question de vie, de mort, de famille, de couple, de solitude, de survie, de liberté, de perte de sens. « Tirer du plaisir de la consommation ! C’était presque une sensation érotique, ou cela pourrait l’être – cette idée que l’on doit bien valoir un article de luxe, si on peut se l’offrir. » (p. 168) Ce n’est jamais heureux, jamais joyeux. Ça l’est rarement dans les écrits de Joyce Carol Oates. Ça pourrait être déprimant, mais non : il y a dans la noirceur de ces histoires un je-ne-sais-quoi qui rappelle l’espoir. Ténu, mais présent.

Ce contenu a été publié dans Mon Alexandrie. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.