Roman de Marc Lévy.
La veille de son mariage, Julia Walsh apprend que son père ne sera pas présent. Pour une fois, il a une excuse imparable : il est mort. Julia annule donc ses noces avec Adam pour assister aux obsèques de son père. Le lendemain, Julia reçoit un cadeau de son père : un robot à son effigie qui lui offre une semaine de plus pour qu’ils se retrouvent enfin et surmontent les obstacles que 20 ans de silence ont accumulé entre eux. Cette semaine de retrouvailles les mènent sur les traces de Tomas, le grand amour de Julia, rencontré sur les ruines du mur de Berlin. Entre New York, Montréal, Berlin et l’Italie, les personnages se croisent et se poursuivent au rythme des jours de la semaine qui se succèdent.
Ce n’est pas le meilleur roman de Marc Lévy. Tout est cousu de fil blanc. On devine tout avec cinquante pages d’avance. Mais la narration est dynamique et je me suis laissée emporter par les rebondissements rocambolesques du texte. C’est une bonne lecture de vacances, pétillante et facile, mais très rapidement oubliée.