Roman historique de Louis Haché.
Peggy Doyle a quitté l’Irlande pour le Québec en suivant son mari. Très vite, elle se retrouve seule avec ses deux enfants. À la fin du 19e siècle, il est mal vu qu’une femme occupe des métiers d’hommes. Mais Peggy a décidé de se tirer de la misère et de gagner le respect.
C’est long à démarrer, ça s’emballe vers le milieu et ça retombe comme un soufflé. Aucune homogénéité dans la narration. On passe d’un personnage à l’autre sans savoir pourquoi. Les ellipses sont honteusement masquées par des artifices littéraires. Pourtant, j’aurais bien voulu me laisser prendre par l’histoire de cette femme fière. Mais avec ce livre, il semblerait que la seule façon qu’a une femme de rester libre, c’est de soulever ses jupons. Grrrr…