Recueil de nouvelles de Jim Harrison.
Quatrième de couverture – Trois nouvelles. Des personnages qui n’ont rien de commun. Des copains de campus devenus sages volant au secours d’un des leurs dont l’enragement terroriste ne s’est pas élimé. Une femme mûre qui ne veut simplement que s’évader de sa vie pour en retrouver la source. Un grand diable d’homme des bois qui a retrouvé un chef indien en plongée et veut l’enterrer dans le cimetière caché de ses ancêtres dont une accorte ethnologue traque le passé à travers lui…
Que ses personnages aient quitté les bois pour la civilisation, les nostalgies de jeunesse, les fidélités qu’on se doit à soi-même, Jim Harrison leur garde leur sève, leurs élans et écrit l’un des plus beaux livres depuis Légendes d’automne.
Voilà un abandon. Lâche. Rapide. Sans vergogne. Dans les 2 premières pages, un truc m’a chiffonnée. Je ne sais pas quoi, je n’ai pas cherché. J’ai tenu jusqu’en page 30 et je n’ai même pas essayé de lire la deuxième et la troisième nouvelle. Je vous l’ai dit, c’est un abandon lâche et rapide. J’avais tenu bon jusqu’à la dernière page de Péchés capitaux, je n’ai pas fait cette erreur avec ce recueil. Tant pis, je passe apparemment à côté d’un des plus grands auteurs américains du 20e siècle, mais je le vis bien.