Quatrième de couverture – Au lendemain de la Première Guerre mondiale, la très jeune Amory Clay se voit offrir par son oncle Greville un appareil photo et quelques conseils rudimentaires pour s’en servir. Elle ignore alors que c’est le déclencheur d’une passion qui façonnera irrévocablement sa vie future. Un bref apprentissage dans un studio et des portraits de la bonne société laisse Amory sur sa faim. Sa quête de vie, d’amour et d’expression artistique l’emporte bientôt dans un parcours audacieux et trépidant, du Berlin interlope des années vingt au New York des années trente, de Londres secoué par les émeutes des Chemises noires à la France occupée et au théâtre des opérations militaires, où elle devient l’une des premières femmes photoreporters de guerre. Sa soif d’expériences entraîne Amory vers d’autres conflits, des amants, un mari, des enfants, tandis qu’elle continue à poursuivre ses rêves, à combattre ses démons. À travers le destin singulier et l’objectif téméraire d’une femme indépendante et généreuse, William Boyd nous promène au gré des événements les plus marquants de l’histoire contemporaine. Une ode magnifique à la liberté des femmes !
Impossible d’entrer dans cette histoire qui avait pourtant tout pour me plaire : un destin de femme forte et libérée dans l’Europe des années 1920 à 1970. Mais la plume dodelinante de l’auteur m’a lassée dès les premières pages. Mon intérêt a été un peu réveillé par les nombreuses photographies qui ponctuent les chapitres, mais pas suffisamment pour me convaincre à dépasser la centième page de ce roman.
Je vous laisse sur une citation de ce livre.
« Les histoires familiales, les histoires personnelles sont aussi sommaires et peu fiables que les histoires datant des Phéniciens, me semble-t-il. On devrait tout noter, combler les vides si l’on peut. Ce qui est la raison pour laquelle j’écris ceci, mes chéries. » (p. 19)