Le petit Omubishi grandit et Kozakura s’adapte de mieux en mieux aux comportements singuliers de son jeune compagnon. Elle reste cependant bien perplexe devant les jeux simples de son animal : un sac en papier ou une gomme, et voilà le minou pris d’une excitation irrépressible ! Et la jeune femme, bien occupée par son chat, doit définir un programme très strict si elle veut consacrer un maximum de ses loisirs à un nouveau jeu. « Devenir adulte réduit considérablement la part [du] temps que l’on peut réserver aux jeux vidéo. » Ce que je préfère vraiment dans cette série de mangas, ce sont les chapitres racontés du point de vue d’Omubishi et qui reprennent les pages précédentes. J’ai apprécié que ce volume explique un peu plus le langage et le fonctionnement des jeux vidéo. Cela permet de mieux comprendre comment Kozakura prête à son chaton des traits ou des aptitudes de personnage vidéoludique.
Je me suis encore laissé prendre par cette bouille adorable de jeune chat ! « Regardez-moi ces petites papattes ! Ça me rappelle ces petits pains briochés que j’aime tant ! » J’avoue avoir parfois envie de croquer ma Bowie tant elle est douce et mignonne ! Puis je me souviens que sous la douceur des pattounes se cachent des armes impitoyables…
J’ai déjà lu le premier et le second volume de cette série. Il est très probable que j’emprunte les suivants à la bibliothèque !