Vers la mi-juin, les élèves de terminale ont composé aux épreuves du baccalauréat. Mais qui sait l’étymologie de ce mot ? Il faut remonter au latin médiéval [baccalarius] qui désignait un jeune homme aspirant à devenir chevalier, sous l’influence du verbe [laureare], à savoir couronner de laurier.
Les bacheliers sont-ils les chevaliers de demain ? À en juger par les perles du baccalauréat, nul doute qu’ils sont au moins les chevaliers de la rigolade, de la poilade et de l’ignorance crasse !
Alors, billevesée ?