La gourgandine est un des nombreux noms que l’on donnait autrefois aux prostituées. Et non, je ne vais pas dresser la liste de ces appellations !
Avant de désigner la femme de mauvaise de vie, la gourgandine désignait un corset qui se laçait sur le devant et qui permettait, si le lacet était lâche, de dévoiler la poitrine.
Il n’y a ensuite qu’un petit pas à franchir pour que la femme qui porte ce corset de manière plus ou moins ouverte soit qualifiée de gourgandine. Métonymie, mon amour !
Alors, billevesée ?
Sur ce tableeau, la belle Agnès Sorel porte un corsage lacé à la gourgandine.