Bande dessinée de Stan Sakaï.
Miyamoto Usagi a donc repris son chemin, ne pouvant rester dans le village de son enfance. Il fait la connaissance de la jolie Kitsuné, aussi charmante que fieffée voleuse, et règle un vieux différend avec un parieur. Respectant toujours le bushido, code d’honneur des samouraïs, il porte secours à la veuve d’un seigneur et aide le fantôme d’un général à trouver le repos grâce à la cérémonie rituelle du seppuku, suicide d’honneur des guerriers. Avec le même courage qu’au combat, il affronte les démons du Japon médiéval. « Je n’ai pas survécu à la bataille pour finir dans la soupe d’une sorcière ! » (p. 69) Et sa route croise à nouveau celle de Gen, chasseur de primes dont le passé est bien plus honorable qu’il ne le laissait entendre. Entre ces deux-là, c’est l’amitié vache, de celles qui durent longtemps. « Au fond, t’es qu’un cœur tendre, Gen ! / Dis-le encore une fois et je fais un nœud de tes oreilles ! » (p. 174)
Rassurez-vous, il n’arrive rien aux douces oreilles de mon cher Miyamoto ! J’ai toujours autant de plaisir à parcourir le Japon en sa compagnie et à le suivre dans ses braves aventures ! Il me reste plus de 20 tomes à découvrir et j’ai bien hâte que les librairies rouvrent pour passer une grosse commande auprès de ma libraire préférée ! Ça manque de lapins dans mon clapier… dans ma bibliothèque !