Tomas aime Tereza, mais il ne cesse d’aller voir d’autres femmes. Sans trêve, la jalousie ronge Teresa qui exige des preuves d’amour toujours plus grandes. Le tout dans un monde où le communisme règne en maître.
Tout le roman est une réflexion sur l’importance, la pesanteur ou la légèreté des choses. Comment choisir entre le pesant et le léger ? Faut-il, comme Parménide, préférer le second ? Ou admettre, comme Nietzsche, que seul le premier a de la valeur ? Le texte se lit bien. La narration semble parfois chaotique, la temporalité se délite par moment. Mais le texte résonne longtemps.