Au gré de l’évolution, du réchauffement climatique et du développement de l’industrie textile, l’homme s’est peu à peu débarrassé de la fourrure qui le couvrait à l’origine. Mais il est loin d’être glabre puisque l’épiderme entier est couvert de poils d’épaisseurs, de formes et de couleurs diverses.
Le corps entier ? Non, quelques parties résistent encore et toujours à l’envahisseur. Il s’agit des faces intérieures des mains et des pieds. Et il en a toujours été ainsi. Ainsi, dire de quelqu’un qu’il a un poil dans la main, c’est supposer qu’il se sert tellement peu de cette dernière qu’une pilosité peut s’y développer.
Alors, billevesée ?