Bande dessinée de Stan Sakai.
Jotaro a disparu ! Le samouraï errant cherche le fils de son amie d’enfance, Mariko. En le retrouvant, il recroise la route du bouc assassin solitaire et de son fils. Comme toujours, il se porte au secours des plus faibles et des innocents, mettant ses lames au service de ceux qui en sont dignes, moins par le rang que par le cœur. Alors qu’il s’efforce de respecter scrupuleusement le code d’honneur des samouraïs, Miyamoto Usagi est en proie à un déchirant dilemme. Doit-il avouer à Jotaro qu’il est son véritable père et risquer d’amoindrir l’affection que l’enfant lui porte et porte à celui qu’il considère comme son père ? Est-il prêt à abandonner son existence errante pour se consacrer au jeune garçon ? « J’aime cette vie de voyageur. Tant qu’il y a de la guerre, les seigneurs n’ont pas à entretenir une grande armée, et moi j’accomplis le parcours d’apprentissage du guerrier. » (p. 105)
J’apprécie toujours autant cette série d’aventures dans le Japon féodal, mais je la savoure d’autant plus que l’histoire personnelle du beau lapin en kimono prend de l’épaisseur. Il est magnifique en guerrier noble et courageux, mais il est sublime en homme au cœur sensible. Dès la rentrée, je file chez ma libraire préférée et je lui commande les albums suivants !