Le Survenant – Marie-Didace

Romans du terroir de Germaine Guèvremont.

Le Survenant – Le Survenant arrive un soir dans la demeure des Beauchemin. Contre repas et abri, il s’offre comme homme à tout faire. Grand, beau, fort et rieur, il ne s’attire pas la sympathie de tous. Il est un homme de la route, il survient dans la quiétude du village, d’où son nom de Survenant. Il repart comme il est venu, ayant suscité un grand amour et des rancœurs. Respecteux de la terre et du travail, il est fasciné par la ville et ses plaisirs.

Plusieurs films ont été tirés de cette œuvre, qui figure en tête des classiques de la littérature québécoise. J’ai été charmé par l’écriture de l’auteur.

Marie-Didace – Le Survenant a quitté la maison des Beauchemin. Le père Didace épouse l’Acayenne, une veuve de Sorel. L’arrivée de la nouvelle ne plaît pas à Alphonsine, la bru de Didace. Elle ne trouve pas sa place dans le foyer. Mais elle gagne soudain l’estime de son beau-père : elle attend un enfant. Pour Didace, c’est la preuve que les Beauchemin ont encore de l’avenir. Pour Angélica qui a tant aimé le Survenant, l’existence prend un tour nouveau quand elle croit le reconnaître dans le journal, sous la mention « Glorieux disparu ». Sa douleur devient celle d’une digne veuve.

Je trouve le deuxième volet moins inspiré que le premier. Il y a des répétitions, des lourdeurs. Cela dit, l’histoire reste belle.

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