Le Silmarillion

Roman de J. R. R. Tolkien.

Quatrième de couverture – Les Premiers Jours du Monde étaient à peine passés quand Fëanor, le plus doué des elfes, créa les trois Silmarils. Ces bijoux renfermaient la Lumière des Deux Arbres de Valinor. Morgoth, le premier Prince de la Nuit, était encore sur la Terre du Milieu, et il fut fâché d’apprendre que la Lumière allait se perpétuer. Alors il enleva les Silmarils, les fit sertir dans son diadème et garder dans la forteresse d’Angband. Les elfes prirent les armes pour reprendre les joyaux et ce fut la première de toutes les guerres. Longtemps, longtemps après, lors de la Guerre de l’Anneau, Elrond et Galadriel en parlaient encore.

Quand ça veut pas… Après avoir lu et relu Bilbo le Hobbit  quand j’étais toute môme et avoir dévoré Le seigneur des anneaux en moins d’une semaine quand j’avais 12 ans, j’ai voulu tenter, le même été, de lire Le Silmarillion. Déjà à l’époque, j’avais abandonné. Je pensais alors que c’était trop compliqué pour moi et que je comprendrais mieux en vieillissant.

Mauvais calcul ! Plus de 20 ans après, la sauce ne prend pas toujours pas. J’ai beau être passionnée par les mythologies en tout genre et les cosmogonies, là, c’est l’ennui. Mortel, déprimant, profond. Je n’accroche pas et je n’ai même pas envie de faire des efforts pour y arriver. Il me semble qu’il faut être véritablement passionné par l’univers de Tolkien pour arriver à rentrer dans cette lecture. Ce métatexte lent, long et complexe n’est pas pour moi.

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