Kozakura ne s’attendait pas à ce que le compte qu’elle a créé pour son chat sur les réseaux sociaux ait autant de succès ! Le petit Omusubi grandit et a toujours autant besoin d’attention. La gameuse acharnée délaisse un peu ses jeux pour s’occuper de son compagnon à poils, pour leur grand plaisir réciproque ! La jeune femme est toujours aussi gaga de sa bestiole et je la comprends ! « Il s’est endormi sur la télécommande ? Je ne peux quand même pas le réveiller. Il est si chou quand il dort ! » Kozakura continue d’envisager l’éducation de son chat comme une progression vidéoludique : il faut que son petit combattant améliore ses statistiques pour devenir le meilleur. Elle prend de plus en plus de conseils auprès de la vendeuse du magasin animalier. Et rien n’est trop beau pour Omusubi !
Les planches dédiées aux réflexions du chat sont sans doute mes préférées, car elles redessinent les situations précédentes à hauteur de moustache. C’est tout à fait hilarant et craquant, et ça reflète bien les paroles que je mets dans la bouche de ma jolie Bowie. Pour autant, ce deuxième volume est un peu répétitif au regard du premier tome. L’histoire reste mignonne, mais ça tourne un peu en ron(ron)d.