Roman de Léo Henry.
Quatrième de couverture – Religieuse, visionnaire, scientifique, poétesse et compositrice, l’abbesse Hildegarde de Bingen n’a cessé, depuis sa mort, d’inspirer femmes et hommes. Figure totale du Moyen-âge européen, elle déborde des limites du XIIe siècle et de la vallée Rhin où elle vécut : depuis sa berge de fleuve, entre Mayence et Cologne, Hildegarde rayonne sur l’univers entier. Née au moment où la première Croisade arrive à Jérusalem, elle meurt tandis que naissent les premiers chevaliers de romans. À son expérience de femme de pouvoir, son œuvre mêle observations et visions, unissant sous une même énergie vitale les mondes réels, imaginaires et divins. Léo Henry crée, autour de Hildegarde, un livre-monde qui emprunte ses formes autant au récit épique, qu’à l’hagiographie ou au roman picaresque. Une fresque, qui court de la création du monde à l’Apocalypse, et explore l’intrication du temps qui passe et des histoires que nous nous racontons. Inclassable et foisonnant, Hildegarde est un roman merveilleux, un roman de l’émerveillement.
Abandon en page 310… Pourtant, j’étais impatiente de commencer ce roman. Hélas, Hildegarde reste une figure lointaine dans les chapitres que j’ai lus. Peut-être devient-elle plus présente à mesure des pages, mais je n’ai pas eu la patience d’attendre et de continuer à suivre tous les personnages, fictifs ou réels, qui se réclament d’elle. Dommage, vraiment, car La Volte est une maison d’édition que j’aime particulièrement. Mais là, ça n’a pas cliqué…
Si Hildegarde en tant que personnage de roman vous intéresse, lisez Frénégonde, quand la fratrie s’emmêle de Lydia Bonnaventure !