Roman d’Agatha Christie.
Dans ce roman, vous trouverez :
- Un homme qui meurt en tombant d’un quai de métro.
- Une femme assassinée dans une maison de la banlieue londonienne.
- Un homme portant un complet marron présent lors des deux drames.
- Des rouleaux de pellicule photo.
- Un papier portant des chiffres étranges et sentant la naphtaline.
- Une orpheline qui rêve d’aventure.
- Des mines de diamants en Afrique du Sud.
- Beaucoup trop de secrétaires pour un seul homme.
Je n’en dis pas plus. Agatha Christie, ce n’est décidément pas ma tasse de thé. Une fois encore, comme pour Le meurtre de Roger Ackroyd, j’avais percé l’identité du coupable très tôt dans l’histoire en me demandant comment tous les personnages pouvaient être aussi bigleux ! Certes, le récit est bien ficelé et riche en rebondissements. Mais ça vire par moment au récit pour midinettes, peut-être pour s’en moquer. Mais je n’y peux rien, je suis incapable de passer au-dessus du style et du ton très datés des écrits d’Agatha Christie. Jugez par vous-même. « Je m’amusais beaucoup. C’était autre chose, enfin, que discuter des crânes avec de vrais fossiles ! Le colonel Race était mon idéal de l’homme fort et bronzé. Peut-être m’épouserait-il ? Il est vrai qu’il ne me l’avait pas encore demandé, mais comme disent les éclaireurs : soyez prêts ! Toutes les femmes, sans même s’en rendre compte, considèrent chaque homme qu’elles rencontrent comme un mari possible pour elles ou pour leur meilleure amie. » (p. 87)