Quatrième de couverture – Véritables piliers de la société, les règles écarlates ont prohibé toutes formes d’expression : l’art, la littérature et la musique n’existent plus. Chaque jour, la milice multiplie les exécutions pour asseoir l’autorité du régime. Dans ce monde totalitaire, Éléonore Herrenstein, une jeune aristocrate, s’élève contre l’ordre établi. Demoiselle respectable le jour et voleuse la nuit, elle espère rejoindre la rébellion pour renverser le gouvernement. Hélas, la voilà brusquement fiancée à l’un des hommes les plus puissants du royaume. Qui est donc Élias d’Aubrey, cet être impénétrable qui semble viser le pouvoir absolu ? Un étrange secret ne tarde pas à ressurgir du passé, un mystère qui entoure une toile peinte un demi-siècle plus tôt. Éléonore ignore encore que sa quête l’entraînera bien plus loin qu’elle ne l’imagine. Dans un voyage au-delà du possible…
C’est un abandon en page 100… Ce que j’ai lu de ce premier roman autoédité est loin d’être complètement mauvais, mais je n’ai pas pu surmonter les nombreux défauts de débutante de l’autrice. Le texte est alourdi par des maladresses narratives et une tendance à vouloir expliquer tout le symbolisme du récit. C’est dommage parce qu’en tant que lectrice, je me sens infantilisée. Par exemple, l’héroïne se fait nommer Plume dans ses activités illicites.« C’était l’envie de vivre sans contraintes qui lui avait inspiré son surnom. » (p. 5) Je n’ai pas besoin d’une telle phrase pour comprendre le sens du pseudonyme d’Éléonore. De plus, le style est dodelinant et l’autrice se laisse trop facilement aller aux phrases et idées toutes faites. « Il existait une liberté qui jamais ne s’évanouirait. La liberté de rêver… » (p. 7) Enfin, tout est plutôt cousu de fil blanc, avec toutefois des incohérences qui rendent l’intrigue bien difficile à suivre. Bref, pas pour moi, livre suivant !