Princesses de science

Roman de Colette Yver. Prix Fémina en 1907.

Le docteur Fernand Guéméné est amoureux de Thérèse Herlinge, la fille du prestigieux docteur Herlinge. Elle est interne dans le service de son père. Quand Fernand demande la main de Thérèse, il attend d’elle qu’elle renonce à la médecine pour se consacrer au foyer, ce qu’elle refuse. Pour vivre avec la femme qu’il aime, Fernand comprend qu’il doit céder.

Féministe et catholique, tout comme son auteur, ce livre est passablement démodé sur le fond. On ne demande plus à une femme de choisir entre sa carrière et sa famille aujourd’hui. Sur la forme, peu de choses à dire. Ce n’est pas mal écrit, ça se lit sans déplaisir, mais tout ça manque de sentiments.

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