Roman de Marie Delvigne.
Le narrateur, un homme, évoque la maladie de la femme qu’il aime, et combien cette maladie déshonorante pour elle est objet de jouissance pour lui.
Estomacs sensibles s’abstenir… C’est toujours dérangeant de lire la confession d’un déviant sexuel. Je me demande ce que ça apporte au lecteur. Je reconnais au texte une puissance rythmique parfaite: en 70 pages, impossible de reprendre haleine. L’obsession du narrateur pour le rouge est palpable, on a l’impression que la couleur suinte à chaque page. Mais le sujet n’est définitivement pas de ceux que j’affectionne. Et je me demande où j’ai pu trouver ce livre pour avoir envie de le lire…