La famille Passiflore a construit un pont japonais pour Célestin Blanche. « Anémone Blanche, la maman, est une artiste peintre très connue. C’est elle qui a eu l’idée de mettre un pont japonais au-dessus du plan d’eau. Avec ces milliers de nymphéas, ça fera de jolis tableaux, a-t-elle dit. » Pendant que les adultes assemblent le pont, les enfants décident de construire une cabane, mais Ajonc et Genêt Blanche ne veulent pas de l’aide de Pirouette ! Il paraît que les cabanes, ce n’est pas pour les filles… Qu’à cela ne tienne, Pirouette se fait de nouvelles amies et entreprend de tresser un immense panier qui pourrait bien sauver la mise aux garçons un peu trop bravaches et inconscients…
La couverture est hommage évident à Monet, agrémentée de détails adorables en forme de lapin, comme toutes les pages et le mobilier de la maison Blanche. (Oui, je sais…) Le sens principal de l’album est simple : les préjugés sont néfastes pour la vie en communauté et il est bien sot d’exclure certaines personnes. Évidemment, tout finit bien, mais la leçon est apprise.
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