Roman d’Isabelle Carré.
Quatrième de couverture – Ziad, 10 ans, ses parents, Anne et Bertrand, la voisine, Muriel, grandissent, chutent, traversent des tempêtes, s’éloignent pour mieux se retrouver. Comme les Indiens, ils se sont laissé surprendre ; comme eux, ils n’ont pas les bonnes armes. Leur imagination saura-t-elle changer le cours des choses ? La ronde vertigineuse d’êtres qui cherchent désespérément la lumière, saisie par l’œil sensible et poétique d’Isabelle Carré.
J’avais beaucoup apprécié le premier texte de l’autrice, Les rêveurs, et je suis très sensible à son travail de comédienne. Je me suis lancée dans son deuxième roman avec confiance et espoir. Hélas, rencontre manquée… J’ai abandonné à la moitié, ne parvenant pas à surmonter l’ennui qui s’est installé dès les premières pages. Je ne sais pas si c’est le passage d’un personnage à un autre, les errances entre passé et présent ou encore les choses dites à demi-mot, mais je n’ai pas réussi à m’accrocher aux histoires qui m’étaient racontées.
Tant pis, il y a beaucoup d’autres choses à lire !