Bande dessinée de Stan Sakai.
Miyamoto Usagi revient aider un village aux prises avec la bande du scorpion rouge qui réclame un tribut exorbitant, et ce alors que les champs ne donnent rien à cause de la sécheresse. L’espoir des villageois, c’est que le fabricant de tambours achève rapidement un instrument gigantesque qui sera frappé en haut de la montagne pour implorer les dieux de faire tomber la pluie. Une fois encore, le samouraï solitaire vient en aide aux plus faibles et défend la juste cause contre l’avidité et la brutalité. Le guerrier retrouve aussi d’anciennes connaissances et ce n’est pas franchement de tout repos. « Oh oh… Des ennuis. Inévitable avec les combines de Kitsuné. » (p. 57) Et, de passage dans une école d’escrime, Miyamoto démontre une nouvelle fois à quel point il respecte l’honneur des samouraïs et sait le mettre en pratique.
Encore une lecture plaisante à suivre les aventures du beau lapin épéiste. Je ne m’en lasse pas. Si l’on m’avait dit, il y a quelques années, que je passionnerais autant pour un héros de comic book, je ne l’aurais pas cru. Il faut dire que Miyamoto Usagi a un double avantage physique qui ne peut que me plaire