Essai de Clarissa Pinkola Estés.
Quatrième de couverture – Chaque femme porte en elle une force naturelle, instinctive, riche de dons créateurs et d’un savoir immémorial. Mais la société et la culture ont trop souvent muselé cette » Femme sauvage » afin de la faire entrer dans le moule réducteur des rôles assignés. Psychanalyste et conteuse, fascinée par les mythes et les légendes, auteur également du Jardinier de l’Eden, Clarissa Pinkola Estés nous propose de retrouver cette part enfouie, pleine de vitalité et de générosité, vibrante, donneuse de vie. À travers des « fouilles psychoarchéologiques » des ruines de l’inconscient féminin, en faisant appel aux traditions et aux représentations les plus diverses, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleu à la petite marchande d’allumettes, elle ouvre la route et démontre qu’il ne tient qu’à chacune de retrouver en elle la Femme sauvage. Best-seller aux États-Unis, ce livre exceptionnel est destiné à faire date dans l’évolution contemporaine de l’identité féminine.
Abandon en page 61. Je n’ai pas tenu jusqu’à la page 100, comme je m’y astreins toujours quand un livre ne me plaît pas. Je ne suis définitivement pas faite pour la psychanalyse. Quant à lire des ressources fondamentales sur le féminisme, je vais orienter mes lectures dans une autre direction.
Deux extraits pour vous donner une idée, si jamais ce livre vous intéresse.
« Qui que nous soyons, indéniablement, l’ombre qui trotte derrière nous marque à quatre pattes. » (p. 12)
« Si une femme conserve ce don précieux, être vieille tout en étant jeune et jeune tout en étant vieille, elle saura toujours faire face. Si elle l’a perdu, elle pourra encore le retrouver, grâce à un travail psychique déterminé. » (p. 58)