L’auteur retrouve des bonheurs oubliés qui ont fait son enfance, entre un père travailleur et attentif, et une mère douce et volontaire. Il raconte son parcours dans le monde rude de la campagne, parmi des êtres solides et simples.
C’est très court, peut-être trop. Mais le texte est charmant. Au détour de chaque page, j’ai cru déambuler dans un musée de la ruralité, entre une fourche à foin et un établi au fond d’une grange. Le texte se lit bien et le style est simple, comme toujours chez Clavel.