Adieu monde cruel a bien expliqué le concept : d’adorables petits lapins cherchent sans cesse le meilleur moyen d’en finir. Ils sont patients, déterminés, solidaires et inventifs. Faisant feu de tout bois, montant des machines compliquées ou tirant profit de leur environnement, ces lapins ne manquent pas de ressources ! « Autodestruction enclenchée. Pour annuler, il vous reste cinq minutes. / L’art du jonglage en six minutes. »
Le lecteur prend une bonne dose d’absurde dans la face. Et s’il aime le cinéma, il y trouvera aussi son compte, car nos adorables petits lapins explorent les univers de Doctor Who, d’Alien, de Terminator ou du Seigneur des anneaux. Ne cherchons pas pourquoi ces bestioles qui n’ont même pas l’air déprimé veulent tellement se faire couic. Contentons-nous de rire un grand coup (du lapin) !
Et je préfère de très loin ces lapins suicidaires aux lapins crétins !