Une souris intrépide s’amuse à narguer une petite chatte. Maligne, la jeune féline décide de lui rendre la pareille. « And because the Mouse has teased Miss Moppet – Miss Moppet thinks she will tease the Mouse. » (p. 29)
L’histoire se déroule comme un classique épisode de « tel est pris qui croyait prendre », mais avec le charme suranné des aquarelles duveteuses de Beatrix Potter. Le texte est très court, presque réduit à une comptine, mais rudement mignon et efficace pour passer un instant tendre et léger. Je l’ai relu avec plaisir : dans la langue de Colette, Miss Moppet s’appelle Mademoiselle Mitoufle.