Les cowboys du Sexas : Buffalo Bill

Nouvelle de Pierrette Lavallée.

Fiona a fui l’homme qui la maltraite depuis des années. Elle répond à une annonce passée par le ranch du Sexas, pour occuper le poste de cuisinière. Elle rencontre Bill, un des propriétaires. L’attirance entre eux est immédiate. « Ils ne se connaissaient que depuis quelques heures et déjà son corps semblait lui être soumis. » (p. 14) Mais il faudra que les amoureux surmontent les peurs de la jeune fille et affrontent son passé douloureux.

Tant de rigolade : par où commencer ??? Sexas, et pas Texas. Non, ce n’est pas une faute de frappe. La fille sent l’abricot et elle ne porte jamais de sous-vêtements. L’homme porte un bandana et c’est sexy. L’amour du monsieur va sauver la dame. Sauf que, non, ça ne marche pas comme ça. On ne guérit pas de huit ans de sévices juste parce qu’un beau gosse vous fait mouiller votre culotte et vous emmène au septième ciel. Et puis, c’est quoi ce délire de soumission heureuse ? Comme si c’était normal de devenir la chose de quelqu’un. « Bill ne te laissera pas repartir, je l’ai lu dans ses yeux, il a cette lueur de possession qu’il a lorsqu’un cheval l’intéresse. » (p. 21) Ai-je besoin d’expliquer ce qui cloche avec cette phrase ou tout le monde a compris que ça ne tourne pas rond dans le ranch du Sexas ?

C’est clair, je ne suis pas le public de ce genre de littérature. Attention, je ne dis pas que c’est tout pourri et que personne ne devrait lire ce texte. Si des lecteurs y trouvent leur compte, tant mieux. Ce n’est pas mon cas, je trouve ça niais et couillon. Alors pourquoi ai-je lu ça ? Bah, c’était un texte gratuit sur la plateforme où j’achète mes ebooks. Et j’avais envie d’écrire un article un peu vachard : je n’ai pas hésité quand j’ai vu passer ces garçons vachers au stetson sexy. Suis-je sado ou maso ? Je vous laisse seuls juges.

Si vous êtes intéressé(e), sachez que l’auteure a écrit d’autres textes : dans le ranch du Sexas, après Buffalo Bill, vous avez rendez-vous avec Butch Cassidy, Calamity Jayne et Jesse James. En selle, cowboys !

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