Je pense à toi tous les jours

Chroniques d’Héléna Villovitch.

La narratrice évoque son emploi, ses jobs, son quotidien, ses maris, ses amis.

Quelle purge ! Une suite de considérations oiseuses sur des sujets traités par dessus l’épaule. Aucune cohérence dans le propos, un humour qui se veut caustique et qui vire au potache. Des photos en noir et blanc étranges, dont je me demande encore ce qu’elles ont à voir avec le texte. Une langue simpliste, une narration décousue. Heureusement que le texte est court ! Aucun intérêt…

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