L’éternel mari

Roman de Fédor Dostoievski. Traduction de Boris de Schloezer.

Veltchaninov est un ancien mondain que son hypocondriaquie et ses angoisses ont éloigné de la société. Un jour, il aperçoit un homme qui porte un crêpe à son chapeau. Cette rencontre l’impressionne vivement. A plusieurs reprises, il croise la route de ce personnage étrange. Un soir, l’homme se présente à sa porte. Veltchaninov reconnaît enfin une vieille connaissance, Pavel Pavlovitch. Neuf ans auparavant, il avait été l’amant de son épouse. Veltchaninov pressent que les desseins de son ancien ami sont troubles, et peu pacifiques à son égard.

La traduction est mauvaise! Des répétitions et des lourdeurs rendent ce texte très pénible à lire, bien que le sujet soit très intéressant. Dommage.

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