Résumé trouvé sur Babelio – L’action se passe au XVIIe siècle dans un royaume scandinave que terrorise un être bestial, Han, qui vit seul avec un ours et ne se nourrit que de sang humain. Un monstre, une révolte populaire, des amours contrariées qui évoquent celles de Hugo et d’Adèle Foucher, et une prison où est enfermé un ministre innocent que délivrera un chevalier à la Dürer. Han, c’est à la fois Frankenstein et la préfiguration de Quasimodo, et le roman témoigne de la fascination qu’ont exercé sur le premier romantisme les cultures nordiques, qui vivent de sang et de nuit mais qui ont aussi inventé la liberté.
Ce roman avait tout pour me plaire. Et puis non, en fait. Mystérieuse alchimie entre livre et lecteur. C’est du Hugo pourtant. Hélas, je n’y ai pas retrouvé les trésors des Travailleurs de la mer, de L’homme qui rit, de Notre-Dame de Paris ou de Quatrevingt-treize. J’ai peiné sur les cent premières pages, m’ennuyant ferme. Et j’ai déclaré forfait. Il faudra que je retente, plus tard, dans longtemps parce qu’il n’est pas qu’un roman de Victor Hugo aura trouvé si peu de grâce à mes yeux.