Bande dessinée de Lewis Trondheim.
Lapinot est devenu Spirou (ne cherchez pas à trop comprendre !) et travaille dans la même rédaction de Gaston Lagaffe. Alors qu’un long week-end de travail s’ouvre devant lui, il assiste à un mystérieux cambriolage dans une bijouterie. Et les évènements bizarres ne cessent de s’enchaîner, avec des choses et des êtres qui apparaissent et disparaissent subitement. Évidemment, un savant fou se cache derrière tout ça. « Vous l’avez eue comment, cette cicatrice ? / En tombant d’une balançoire à huit ans. / Et vos yeux diaboliques ? / Beuh ? … comment ça diaboliques ? Ma mère a les mêmes. » (p. 39)
Ce dernier volume des Fabuleuses aventures de Lapinot est un condensé de tout ce qui a fait la réussite des précédents : un humour fin et des jeux de mots hilarants, de grandes réflexions sur le monde, des personnages attachants, des intrigues loufoques et des dénouements inattendus. Bref, un ultime épisode qui console. Et je suis bien heureuse de le lire des années après sa parution et alors que Lewis Trondheim a lancé une nouvelle série des aventures de Lapinot !