Roman-fleuve d’Honoré d’Urfé.
Astrée et Céladon, deux bergers foréziens, s’aiment d’amour pur. Tout et tous concourent à détruire la perfection de leur union.
J’avoue, à ma grande honte, avoir cédé après 27 pages. Moi qui me targue de ne jamais abandonner un texte sans lui laisser cent pages pour me convaincre, j’ai capitulé devant l’ampleur de l’écrit et de la langue. Cela tient sans doute à l’édition que j’ai choisie (et qui n’est pas celle de l’illustration) et dont la langue est des plus désuètes. Pas grand-chose à dire de ce texte, puisque je ne l’ai pas vraiment lu… Un de moins dans ma LAL… À reprendre peut-être plus tard, dans une édition plus moderne.