Avez-vous profité de la soirée d’Halloween pour regarder un film d’horreur ? Si oui, était-ce une adaptation d’une œuvre de Stephen King ?
Vous le savez, entre le King et moi, c’est une grande histoire d’amour ! J’ai découvert le bonhomme peu avant mes 30 ans et j’ai presque tout lu de lui en 4 ans. C’est vous dire la passion que j’ai pour cet auteur !
Hollywood a depuis longtemps compris tout le potentiel visuel et dynamique des textes de Stephen King. Les adaptations cinématographiques et télévisuelles des œuvres de cet auteur sont nombreuses. Il y a des merveilles, de bons gros nanars et des ratages complets.
Je vous propose donc un tour d’horizon des adaptations que j’ai vues, avec mon avis tout à fait personnel (normal puisque c’est le mien) en quelques mots, et je complèterai à mesure des nouvelles adaptations et de mes visionnages. Il y a bien des films, séries et téléfilms que je n’ai pas encore vus. Pour connaître mon avis sur le texte de Stephen King, cliquez sur le titre.
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Creepshow – Ce n’est pas une adaptation d’un roman de Stephen King, mais d’un scénario écrit par l’auteur exclusivement pour devenir un film. Les cinq sketches s’inspirent des comics américains. Le film est réalisé en 1982 par George A. Romero et c’est une débauche hilarante et granguignolesque de sang, de fluides, de hurlements et de bestioles horribles. Kitsch autant qu’on peut l’être, mais tout à fait délicieux ! Surtout que Stephen King tient le rôle principal d’un des sketches, et son fils Joe apparaît dans le prologue et l’épisode du film.
Sleepwalkers – Ce film a été écrit par Stephen King, mais n’est pas fondé sur une de ses œuvres. Réalisé par Mick Garris, ce long métrage de 1992 offre quelques maquillages et effets spéciaux bien vintages, délicieusement kitschs sont je les aime. La distribution est des plus réjouissantes, avec Brian Krause (le beau Leo dans la série Charmed) ou encore le tout jeune Ron Perlmann. Et il faut noter plusieurs caméos tout à fait géniaux : le King lui-même et l’auteur Clive Barker, Mark Hamill et les réalisateurs John Landis, Joe Dante et Tobe Hooper. L’oeuvre est de bonne facture, ni meilleure ni pire qu’un autre film d’horreur de la même époque.
Rose Red – Cette minisérie est scénarisée par Stephen King et réalisée par Craig R. Baxley. Les trois épisodes sont diffusés pour la première fois en 2002. Dans ce manoir hanté de Seattlle, une manque de personnes aux pouvoirs psis tentent d’entrer en contact avec les forces surnaturelles et les fantômes qui peuplent le bâtiment. C’est l’occasion de voir défiler une jolie brochette d’acteurs et actrices devenu·es plus ou moins célèbres par la suite. Évidemment, je me suis délectée du caméo de Stephen King en livreur de pizzas un peu benêt.
Carrie – Il y a eu plusieurs adaptations du premier roman de Stephen King. Le titre du film de Brian de Palma est Carrie au bal du diable, avec Sissy Spacek dans le rôle titre. Le film a pas mal vieilli, mais il reste un chef d’œuvre d’horreur visuelle et d’épouvante sanglante.
Salem – Je n’ai pas vu la minisérie de 1979, mais celle de 2004. J’étais un peu réticente en raison de la présence de Rob Lowe dans le rôle principal. Finalement, c’est une adaptation honorable, plutôt bien rythmée. Mais visuellement, le niveau gagesque explose tous les records. Et je vais prétendre que la fin n’est pas ce qu’elle est…
Gary Dauberman a produit une nouvelle adaptation, diffusée le 3 octobre 2024 sur Netflix. Bon… les crucifix qui s’allument comme des néons en présence des vampires, on a vu plus subtil… Mais je retiens surtout un plan dans une chambre d’enfants : Watership Down est sur la table de chevet. Le King + des lapins = combo gagnant !
Shining, l’enfant lumière – Le film de Stanley Kubrick n’est pas exactement fidèle au roman, mais il est une très bonne adaptation qui rend bien compte de l’ambiance terrifiante de l’Overlook. Jack Nicholson est un fou dangereux parfait et il a pour ainsi dire la tête de l’emploi.
Rage –Il n’existe pas d’adaptation de ce court roman bien dérangeant.
Le fléau – En 1994, sur un scénario de Stephen King (ouf !), Mick Garris a produit une mini-série télévisée en 4 épisodes. On y retrouve un Rob Lowe plus que poupin et étonnamment convaincant parce que sans dialogue (il joue le muet…) et un jeune Gary Sinise déjà très graouuu ! L’image a évidemment mal vieillie, mais l’adaptation est très fidèle au texte et vraiment plaisante à regarder ! Sauf l’acteur qui incarne Randall Flagg, plus bouffon que terrifiant, mais on ne peut pas tout avoir…
La série de 2020 réalisée par Josh Boone et Benjamin Cavell est une adaptation très réussie. Whoopi GOldberg campe une excellente Mère Abigaïl et Alexander Skarsgard est un Randall aussi troublant que vénéneux. Du pur plaisir pour une mise en images digne du texte de Stephen King ! Et si vous ouvrez l’œil, vous trouverez plein de surprises dissimulées dans les plans…
Dead Zone – J’ai peu de souvenirs du film de David Cronenberg avec Christopher Walken dans le rôle principal, en revanche je suis encore bien traumatisée par la série télévisée diffusée sur M6 à partir de 2003. Traumatisée parce que c’était vraiment très très mauvais !
Marche ou crève – Le réalisateur Franck Darabont a annoncé une adaptation en 2007, mais rien n’est encore fait.
Charlie – Drew Barrymore dans l’un de ses premiers rôles. Et une brochette d’acteurs connus. Mais l’adaptation est à l’image du livre : poussive. Le petit truc qui sauve tout, c’est l’aspect 1980’s très marqué : un bon petit goût de nostalgie pas trop mal vieillie…
Le roman a été adapté en 2022 par Keith Thomas, avec Ryan Kiera Armstrong dans le rôle principal. Cette version est résolument plus moderne, mais n’apporte pas beaucoup plus à l’œuvre originale.
Cujo – L’adaptation de Lewis Teague est franchement moyenne. Elle respecte peu ou prou le roman, mais la réalisation est poussive. Cependant, prix d’interprétation pour le chien et son maquillage !
Chantier – Il n’existe pas encore d’adaptation de ce roman, mais Andrés Muschietti, déjà réalisateur de la dernière version en date de Ça, a annoncé un projet de film.
Running Man – L’adaptation de 1987, par Paul Michael Glaser et avec Arnold Schwarznegger, est très éloignée du texte : en gros, on a le même titre, les mêmes personnages, mais des motivations, une intrigue et une fin différentes. Mr Muscle fait son Mr Muscle et saille du biceps : c’est probablement la seule raison qui m’a fait finir le film.
Christine – Le film de John Carpenter prend pas mal de liberté avec le texte, notamment sur l’origine de la voiture, mais ça reste du bon film d’horreur bien flippant.
La peau sur les os – L’adaptation de Tom Holland, en 1996, se laisse regarder sans déplaisir. Et trop kiffant quand Stephen King apparaît à l’écran !
L’année du loup-garou – Sous le titre Silver Bullet, Daniel Attias a adapté le roman en 1985, selon un scénario de Stephen King lui-même ! À regarder ce film aujourd’hui, je me suis régalée de l’atmosphère délicieusement « eighties » et des acteur·ices tous·tes jeunes que l’on a revu·es dans d’autres productions par la suite.
Simetierre – Le film de 1989 réalisé par Mary Lambert est un modèle du genre gore/dégueu, mais il est tellement réjouissant.
La version 2019 de Kevin Kölsch et Dennis Widmyer est ce que j’appelle un ratage complet. Le gore est remplacé par une esthétique zombie chic. Le film n’est pas fidèle au roman, et ce n’est pas un problème, mais la fin proposée est nazissime.
Les yeux du dragon – La seule adaptation est théâtrale.
Le talisman – Le projet de mini-série n’a jamais été mis en œuvre. Dommage.
Ça – Le téléfilm en trois partie de Tommy Lee Wallace est très fidèle au texte, mais l’interprétation est assez mauvaise. Et ça a plutôt mal vieilli !
En revanche, l’adaptation de 2017 d’Andy Muschietti est une totale réussite visuelle et d’ambiance. Comme j’aime le dire quand je suis vraiment effrayée : PIPI CULOTTE !!! Hâte de voir le chapitre 2 en 2019 !
Je modère mon enthousiasme avec le chapitre 2. Il n’y a que jumpscares en série et abus d’ombres, mais pas de véritable atmosphère viscéralement terrifiante. Et c’est un triste exploit de réussir à faire mal jouer Jessica Chastain et James McAvoy.
La tempête du siècle – J’ai vu la mini-série réalisée par Craig R. Baxley quand j’étais jeune, avant même de savoir que c’était un scénario de Stephen King. Colm Feroe est un excellent Linoge, mais je dois bien l’avouer, si j’aime autant cette adaptation, c’est aussi pour les souvenirs qui entourent son visionnage : moi et mon frère, seuls devant l’écran, avec la permission de minuit de nos parents, ce qui était assez rare.
Misery – L’adaptation de Rob Reiner est fabuleuse. Kathy Bates n’a pas volé son oscar pour son rôle d’Annie Wilkes, fan un peu trop enthousiaste, et c’est peu de le dire.
Les Tommyknockers – La mini-série produite en 1993 est l’exemple même du nanard et du kitsch. Les acteurs sont mauvais au possible, tout sonne faux et le carton-pâte crève l’écran. Vous me direz que ça a mal vieilli et que les effets spéciaux étaient certainement très chouettes pour l’époque. Sachant que cette adaptation est sortie la même année que Jurassic Park, je vous assure qu’elle est mauvaise !
La part des ténèbres – George Romero a produit une adaptation en 1992. Elle vieillit assez mal, mais c’est toujours un plaisir de plonger dans un film des 90’s !
La tour sombre – Énorme douleur et déception… Il était de toute façon impossible de faire un bon film, et certainement pas en 1h40. Le premier tome est résumé en une phrase. Le deuxième tome est inexistant. Le film se concentre plus ou moins sur le troisième tome, mais avec de nombreux raccourcis. Walter est un méchant bouffonesque (avec un col en V bien trop plongeant pour ne pas être ridicule !) dans son QG de méchant et sa bande de vilains sbires. Roland (OK, la belle gueule d’Idriss Elba sauve un peu le tout…) est mou, caricatural, peu convaincant. Apparemment, une suite est prévue. Misère… Maintenant, un zeste d’espoir subsiste avec le projet d’adaptation en série…
Bazaar – Réalisée en 1993 par Fraser Clarke Heston, cette adaptation, titrée Le bazaar de l’épouvante en français, est une très belle revisite du roman. Elle fleure bon l’esthétique des films un peu cheap des années 1990, mais on est loin du navet. Même si certains personnages restent caricaturaux (et je pense que la VF n’aide pas), l’ensemble est joliment horrifique, avec quelques scènes vraiment glaçantes et assez peu de gore facile. Évidemment, Ed Harris est un très bon atout du film !
Jessie – L’adaptation de Mike Flanagan, produite par Netflix, est une réussite, une merveille de malaise et d’angoisse ! Carla Gugino porte le film avec brio et c’est toujours un plaisir de voir Carel Struycken au cinéma !
Dolores Claiborne – Taylor Kackford a réalisé une belle adaptation de ce roman très émouvant. Kathy Bates (encore elle) est épatante dans le rôle-titre. Je vous mets au défi de ne pas chialer devant ce film !
Insomnie – Il n’existe pas d’adaptation de ce roman.
Rose Madder – Il n’existe pas d’adaptation de ce roman.
La ligne verte – Qui ne connaît pas la fabuleuse adaptation réalisée par Franck Darabont ? Tom Hanks est magistral, Michael Clarke Duncan incarne un personnage impossible à oublier. Je ne manque jamais une occasion de revoir ce film magnifique et très réussi. Si ça vous intéresse, regardez l’excellente analyse vidéo faite par LinksTheSun : ce mec est brillant et il dit tout, ou presque, de ce film génial.
Désolation – Pas mal… Pas terrible, mais pas mauvais non plus. Mais je dois avouer que la présence de Ron Perlman joue beaucoup dans ma complaisance : cet acteur a la gueule de l’emploi !
Les régulateurs – Il n’existe pas d’adaptation de ce roman.
Sac d’os – Le téléfilm porte le nom La maison sur le lac. Plutôt fidèle au texte et avec quelques très bons effets visuels et de réalisation, mais la présence de Pierce Brosnan a un peu douché un peu mon enthousiasme : le bonhomme m’exaspère dans tous ses rôles.
La petite fille qui aimait Tom Gordon – George Romero n’a jamais pu concrétiser son projet d’adaptation, par manque d’argent. Hélas, il ne pourra plus jamais le faire. Snif, snif, snif, surtout quand on sait l’admiration de Stephen King pour ce réalisateur et l’influence des œuvres de ce dernier dans les textes du roi de l’horreur.
Dreamcatcher – L’adaptation de Lawrence Kasdan est une montagne de rigolade, un nanar à côté duquel il ne faut pas passer. Morgan Freeman est ridicule à pleurer (de rire) en militaire entêté et bourrin. Les effets spéciaux dégoulinent de plastique fondu. À hurler de rire, donc, et parfois on n’en demande pas beaucoup plus à un film, d’autant plus que le livre est loin d’être le meilleur de Stephen King.
Territoires – Il n’existe pas d’adaptation de ce roman.
Roadmaster – Le projet d’adaptation de Tobe Hooper n’a jamais vu le jour. Dommage, car ce film a un potentiel visuel énorme.
Colorado Kid – Les 5 saisons de la série Les mystères de Haven, diffusée de 2010 à 2015 sur Syfy, reprend d’assez loin ce court roman. J’en retiens surtout les nombreuses allusions à d’autres titres de Stephen King.
Cellulaire – Tod Williams a adapté le film en 2016. John Cusack et Samuel L. Jackson tiennent les rôles titres d’un film qui s’avère moins nanardesque que le livre !
Histoire de Lisey – Produite par Pablo Larrain en 2021, la série offre de très grands rôles à Julianne Moore, Clive Owen et Dane DeHaan. J’ai redécouvert ce roman avec un immense plaisir.
Blaze – Il n’existe pas d’adaptation de ce roman.
Duma Key – Il n’existe pas d’adaptation de ce roman.
Dôme – Les trois saisons de la série Under the Dome sont d’autant plus décevantes qu’elles ont été supervisées par Stephen King. En gros, on retrouve les mêmes noms de personnage, mais ils ont des caractères et/ou des histoires différentes. L’intrigue est rapidement très différente et la fin est un majeur tendu à la douce idée de respecter l’œuvre d’origine. Les acteurs sont… les acteurs sont, voilà. Le seul avantage de cette série est qu’elle donne envie de relire le roman qui est plutôt très bon.
22/11/63 – Comme quoi, il est possible de ne pas reproduire certaines erreurs… En travaillant avec J. J. Abrams sur le scénario de la mini-série, Stephen King a produit un chef-d’œuvre télévisuel. Tout est bon dans cette adaptation : les acteurs, le rythme, l’image, les clins d’œil aux autres textes du King (cherchez bien le « Redrum » dans la fabrique de papier…). Le roman était fabuleux : son adaptation est tout à fait à la hauteur.
Joyland – Il n’existe pas d’adaptation de ce roman.
Docteur Sleep – Mike Flanagan a adapté ce roman en 2019, avec Ewan McGregor dans le rôle de Danny Torrance adulte. La critique a été plutôt assassine avec ce film, mais j’ai trouvé ce dernier plutôt réussi, dynamique et bien joué. OK, je suis de parti pris quand Ewan est dans le coin, mais tout de même, ça reste une bonne adaptation d’un roman du King ! Et surtout, immense bravo à Rebecca Ferguson qui incarne Rose The Hat : elle est phénoménale !
Mr Mercedes – Le livre a été adapté en série en 2017. Il constitue la première saison d’une série de 3 (pour les suites du roman que sont Carnets noirs et Fin de ronde). Brendan Gleeson incarne un parfait Bill Hodges et Harry Treadaway est un terrifiant Mr Mercedes ! Et petit plus délicieux, le King se paye le luxe d’apparaître dans le générique d’une des saisons !
Revival – Il n’existe pas d’adaptation de ce roman.
Carnets noirs – Le roman, deuxième de la trilogie commencée avec Mr Mercedes, constitue la troisième saison de la série intitulée Mr Mercedes. Et c’est encore une grande réussite, une excellente adaptation du roman !
Fin de ronde – Le roman constitue la saison 2 de Mr Mercedes ! Les acteurs sont excellents et j’ai une tendresse toute particulière pour Justine Lupe qui incarne Holly Gibney.
Sleeping beauties – Il n’existe pas d’adaptation de ce roman.
L’outsider – La série produite par Richard Price est une très bonne adaptation, avec des acteurs peu connus, mais foutrement convaincants ! Gros coup de cœur pour Cynthia Erivo qui incarne la brillante, mais tourmentée Holly Gibney. Les libertés prises avec le texte ont du sens et ne dénaturent pas l’œuvre littéraire. Un vrai plaisir de sériphile ! Un immense bravo pour la réalisation qui ne montre jamais le monstre, ce qui n’empêche pas de bien frissonner devant l’écran.
L’institut – Si j’en crois la presse, une adaptation est en préparation…
Après – Pas d’adaptation annoncée pour le moment.
Gwendy et la boîte à boutons – Pas d’adaptation annoncée pour le moment.
Billy Summers – Pas d’adaptation annoncée pour le moment.
Conte de fées – Pas d’adaptation annoncée pour le moment.
La dernière mission de Gwendy – Pas d’adaptation annoncée pour le moment.
Holly – Pas d’adaptation annoncée pour le moment.
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Stephen King a publié de nombreux recueils de nouvelles. Certaines ont été adaptées.
Danse macabre – Plusieurs nouvelles ont été adaptées. J’en ai vu certaines.
- Celui qui garde le ver – La nouvelle a été adaptée en minisérie sous le titre « Chapelwaite » en 2021. Adrien Brody tient le rôle de Charles Boone. Cette adaptation est visuellement très réussie. Elle s’écarte du texte, mais propose une histoire de vampires tout à fait digne de Stephen King.
- Poste de nuit – La nouvelle est adaptée par Ralph S. Singleton en 1990, sous le titre de La créature du cimetière. Il y a des scènes tout à fait dignes du King, et surtout une caractérisation des personnages aux petits oignons, avec des acteurs qui n’ont pas peur d’en faire des caisses.
- Une sale grippe – La nouvelle n’a pas été adaptée, mais elle a servi de base au Fléau.
- Comme une passerelle – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- La presseuse – Le film a été réalisé en 1995 par Tobe Hooper. Un navet comme on les aime ! En France, le film est sorti directement en vidéo sous le titre La presseuse diabolique.
- Le croque-mitaine – La nouvelle a été adaptée en 1982 sous forme de court-métrage par Jeff Schiro.
En 2023, Rob Savage a produit une nouvelle adaptation. Rien de très subtil, un méchant vilain pas beau et une fin franchement couillonne, mais l’histoire de reconstruction familiale est assez jolie.
- Matière grise – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Petits soldats – Premier épisode de la série Rêves et cauchemars, cette nouvelle est adaptée par Brian Henson en 2006 pour la chaîne TNT. Particularité à signaler, l’épisode ne contient aucun dialogue.
- Poids lourd – Sous le titre Maximum Overdrive, Stephen King a écrit l’adaptation cinématographique de sa nouvelle. Sorti en 1986, le film est au nombre des gros nanars que l’auteur compte dans les adaptations filmées de ses textes. Mais ça se laisse regarder sans déplaisir, avec un second degré au garde à vous !
- Cours, Jimmy, cours – Le téléfilm réalisé par Tom McLoughline en 1991 fleure bon, comme on s’en doute, les années 90. C’est pour cette seule et unique raison que j’ai regardé l’adaptation jusqu’au bout. Parce que les acteurs jouent comme des savates et le doublage est franchement atroce.
- Le printemps des baies – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- La pastorale – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Désintox Inc / La corniche – Ces deux nouvelles ont été adaptées dans le film à sketches Cat’s Eye, sorti en 1985. Trois histoires indépendantes (dont une écrite spécialement pour le film) sont reliées par les errances d’un chat, hanté par les visions d’une petite fille qui demande son aide. Et la petite fille est interprétée par la toute jeune Drew Barrymore, déjà vue dans une adaptation d’un roman du maître, Charlie.
- L’homme qu’il vous faut – Le texte est adapté en 2005 par Shawn S. Lealos sous forme de court-métrage.
- Les enfants du maïs – Le nombre d’adaptations de cette nouvelle est plutôt impressionnant ! J’ai vu celle de Kurt Wimmer, tournée en 2020 pendant la pandémie de Covid-19. Pas de doute, on n’a aucune envie de croiser ces gamins au détour d’un champ de maïs !
- Le dernier barreau de l’échelle – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- L’homme qui aimait les fleurs – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Un dernier pour la route –Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Chambre 312 –La nouvelle a fait l’objet de deux adaptations. La première est un court-métrage réalisé en 1983 par Frank Darabont sous le titre The Woman in the Room.
La seconde adaptation est réalisé en 2005 par Damien Maric.
Différentes saisons – Trois nouvelles sur les quatre ont été adaptées.
- Le corps – La nouvelle est adaptée en 1987 sous le titre Stand By Me et est une très chouette histoire d’amitié entre gamins.
- Rita Hayworth et la Rédemption de Shawshank – Vous connaissez sans doute le film The Shawshank Redemption (Les évadés en France) avec Tim Robbins et Morgan Freeman dans les rôles principaux. Paru en 1994, il a été nommé à plusieurs récompenses aux oscars, et il aurait mérité de recevoir toutes les statuettes.
- Un élève doué – Cette adaptation de Bryan Singer sortie en 1998 donne des rôles très mineurs à David Schwimmer (Ross dans Friends) et Joshua Jackson (Pacey dans Dawson) et, rien que pour ça, elle vaut le détour. Mais je retiens surtout l’interprétation glaçante du jeune Brad Renfro face à l’iconique Ian McKellen. Et purée, la scène du chat et du four (je n’en dis pas plus…), QUELLE HORREUR !!!
- La méthode respiratoire – Il n’existe pas d’adaptation pour le moment.
Brume – Plusieurs nouvelles de ce recueil ont été adaptées.
- Brume – Je n’ai pas vu l’adaptation cinématographique de 2007, mais j’ai vu la série The Mist produite par la plateforme Netflix. Elle souffre du même syndrome que Dôme : des acteurs trop nombreux et insipides, et un matériau d’origine passé à la moulinette et recraché en un magma immonde. Fort heureusement, il n’y aura pas de deuxième saison et la fin très décevante de la première est à oublier au plus vite. Et je vais chercher le film de 2007 : il ne peut pas être pire !
- En ce lieu, des tigres – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Le singe – La nouvelle a fait l’objet d’une adaptation non officielle, puisque le nom de Stephen King n’est pas mentionné, par Kenneth J. Berton, sous le titre Le singe du diable, en 1984.
- La révolte de Caïn – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Le raccourci de Mme Todd – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- L’excursion – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Le gala de noces – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Paranoïa : une mélopée – Il s’agit d’un poème.
- Le radeau – En 1987, Michael Gornick réalise Creepshow 2, film à sketches adaptés de nouvelles de Stephen King, donc « Le radeau ». L’ensemble se regarde sans déplaisir, mais le fil conducteur, sous forme d’animé, est vraiment pauvre. Petit détail qui relève le tout, le caméo de Stephen King !
- Machine divine à traitement de texte – La nouvelle est adaptée à la télévision par Michael Gornick en 1984, dans le cadre d’un épisode de la série Tales from the Darkside. C’est délicieusement kitsch, surtout l’ordinateur qui semble en carton…
- L’homme qui refusait de serrer la main – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Sables – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- L’image de la faucheuse –
- Nona – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Le goût de vivre – La nouvelle a été adaptée plusieurs fois en court métrage, notamment Survivor Type en 2012 par Billy Hanson.
- Le camion d’oncle Otto – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Livraisons matinales (Laitier n°1) – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Grandes roues : où l’on lave son linge sale en famille – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Mémé – La nouvelle a fait l’objet de plusieurs adaptations.
- La ballade de la balle élastique – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Le chenal – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
Minuit 2 – Les deux novellas de ce recueil ont été adaptées.
- Les Langoliers – En 1995, Tom Holland a commis une adaptation pour la télévision. C’est avec ce téléfilm, gamine, que j’ai découvert le concept de nanar. Mon frère et moi en avons ri pendant des semaines. En fait, on en ri encore.
- Vue imprenable sur jardin secret – Nouvelle adaptée sous le titre Fenêtre secrète. Il me semble que j’ai vu l’adaptation avec Johnny Depp et John Turturo, mais je n’en ai aucun souvenir. C’est dire si ça devait être
bonmauvais…
Minuit 4 – Aucune des deux nouvelles n’a été adaptée.
Rêves et cauchemars (tome 1, tome 2) – Je n’ai vu que certaines des adaptations.
- La cadillac de Dolan – Jeff Beesley a adapté la nouvelle en 2009 avec un direct-to-video (généralement, ça veut dire que le film est trop mauvais pour mériter une diffusion sur grand écran). Wes Bentley et Christian Slater proposent pourtant une performance assez réussie, bien que caricaturale ! La bagnole est en outre très bien filmée.
- Le grand bazar : finale – Quatrième épisode de la série Rêves et cauchemars, cette adaptation réalisée par Mikael Salomon est plutôt efficace, portée par le ressort narratif de la confession face caméra. Pas mal, mais pas inoubliable.
- Laissez venir à moi les petits enfants – Bernardo Villela a réalisé un court-métrage en 2006.
- Le rapace nocturne – Le film de 1997 réalisé par Mark Pavia est un chef-d’œuvre de nanar. Tout est prévisible, mais ça n’en rend pas le visionnage agaçant. Au contraire, c’est confortable : on sait qu’on aura gentiment peur et qu’on oubliera tout très vite. Mention spéciale pour la scène où le vampire utilise un urinoir et pisse du sang. Ça, pour le coup, ce n’était pas attendu !
- Popsy – La nouvelle a été adaptée deux fois en court-métrages, en 2012 par John Lerchen et en 2016 par Julien Homsy.
- Ça vous pousse dessus – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Le dentier claqueur – La nouvelle est adaptée dans un des sketchs du téléfilm Quicksilver Highway, réalisée par Mick Garris. Christopher Llyod y joue un hôte des plus inquiétants.
- Dédicaces – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Le doigt téléscopique – La nouvelle a été adaptée dans un épisode de la série Monsters. C’est gentiment nanardesque, avec un air de blague potache.
- Pompes de basket – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Un groupe d’enfer – Dernier épisode de la série Rêves et cauchemars, cette adaptation réalisée par April Smith est une réussite visuelle, avec une esthétique joliment pop et rétro.
- Accouchement à domicile – La nouvelle a fait l’objet d’un dessin animé très court réalisé par Elio Quiroga en 2005.
- La saison des pluies – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Mon joli poney – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Désolé, bon numéro – Cette nouvelle a été adaptée dans le cadre d’un épisode de la série Tales from the Darkside. Elle se tient étonnamment bien, même si les acteur·ices n’ont pas le jeu le plus subtil qui existe…
- La tribu des dix plombes – Tom Holland a écrit un scénario, mais le projet de film semble avoir été abandonné.
- Crouch End – Pur hommage à Lovecraft, cette nouvelle est adaptée dans le deuxième épisode de la série Rêves et cauchemars. Réalisé par Mark Haber en 2006 pour la chaîne TNT, cet épisode est un concentré d’effets spéciaux kitschissimes, et ça regarde avec une immense délectation.
- La maison de Maple Street – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Le cinquième quart – Adaptée dans le sixième épisode de la série Rêves et cauchemars par Rob Bowman, cette nouvelle propose une jolie variation de la chasse au trésor.
- Le docteur résout l’énigme – James Douglas et Leonard Pearl ont adapté la nouvelle au cinéma en 2018.
- La dernière affaire d’Umney – Réalisée par Rob Bowman pour la série Rêves et cauchemars, cette adaptation est un plaisir d’ambiance, hommage aux auteurs de romans noirs américains. Avec une bonne dose de cynisme, l’épisode reprend à merveille une des obsessions de Stephen King, à savoir l’auteur et ses personnages, différentes faces d’un même dé avec lequel il ne faut pas parier.
- Le mendiant et le diamant – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
Cœurs perdus en Atlantide – En 2001, Scott Hicks adapte en regroupant plusieurs des textes de ce recueil, sous le titre Coeurs perdus en Atlantide. Anthony Hopkins est, comme dans presque tous ses films, extraordinairement bon.
Tout est fatal – Plusieurs nouvelles ont été adaptées dans la série Rêves et cauchemars, d’autres de manière indépendantes.
- Salle d’autopsie 4 – Septième épisode la série Rêves et cauchemars produite en 2009, cette nouvelle adaptée par Mikael Salomon est une réussite en termes d’angoisse.
- L’homme au costume noir – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Tout ce que vous aimez sera emporté – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- La mort de Jack Hamilton –Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Salle d’exécution –Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Les petites sœurs d’Éluria –Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Tout est fatal – La nouvelle a été adaptée au cinéma par J. P. Scott en 2009, mais le film n’a pas trouvé de distributeur et reste inédit du public.
- L. T. et sa théorie des A. F. – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Quand l’auto-virus met cap au nord – La nouvelle est adaptée par Sergio Mimica-Gezzan dans la série Rêves et cauchemars. L’épisode est un monument de mauvais effets spéciaux et d’affreux jeu d’acteurs. C’en est presque bon !
- Cette impression qui n’a de nom qu’en français – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- 1408 – En 200, Mikaël Hafström propose à John Cusack un film où il est quasiment le seul personnage. Dans ce huis-clos terrifiant, j’ai retrouvé tout le frisson du texte. La confrontation liminaire avec Samuel L. Jackson est un véritable plaisir ! À noter que ces deux acteurs ont joué dans d’autres adaptations de textes du King.
- Un tour sur le bolid’ – En 2004, Mick Garris a adapté ce court roman du King, avec Jonathan Jackson et David Arquette dans les rôles titres. Ce film de 2004 porte une étrange – mais délicieusement nostalgique – atmosphère des années 1990.
Juste avant le crépuscule – Quelques adaptations télévisuelles ou cinématographique.
- Willa – Un film a été réalisé par Christopher Birk en 2012. Peu de choses à en dire, sinon qu’il est bleu. Très bleu.
- La fille pain d’épice – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Le rêve d’Harvey – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Aire de repos – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Vélo d’appart – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Laissés pour compte – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Fête de diplôme – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- N. – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Un chat d’enfer – La nouvelle est adaptée par George A. Romero en 1990, dans le film à sketches orchestré par John Harrison. J’y ai retrouvé l’extraordinaire Mark Margolis, mais je retiens surtout la marionnette de chat maléfique qui terrorise tout le monde.
- Le New York Times a un prix spécial – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Muet – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Ayana – En 2014, il est annoncé que Chris Sparling écrit une adaptation pour la télévision, mais celle-ci ne s’est pas concrétisée.
- Un très petit coin – Il n’existe pas d’adaptation de cette nouvelle.
- Bon ménage – L’adaptation de Peter Askin, parue en 2014 sous le titre Couple modèle, manque du kitsch qu’on aime tant dans les films tirés des livres du King ! Les acteur·ices, sans être résolument mauvais·es, n’échappent pas à une tendance au surjeu et à la caricature.
- À la dure – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Extension claire – Cette nouvelle n’a pas fait l’objet d’une adaptation.
- Grand chauffeur – Le téléfilm de Mikael Salomon, produit en 2014, est très réussi et retranscrit à merveille la violence de la nouvelle, mais aussi la détermination de la femme qui se venge.
- 1922 – Cette nouvelle m’avait terrifiée à la lecture : il faut dire que je ne suis pas spécialement fan des rats… L’adaptation produite par Netflix est particulièrement réussie : elle reprend la forme de la confession et, visuellement… des rats partout !
Le bazar des mauvais rêves – Aucune nouvelle de ce recueil n’a été adaptée pour le moment.
- Mile 81 – Pas d’adaptation pour le moment.
- Premium Harmony – Pas d’adaptation pour le moment.
- Batman et Robin ont un accrochage – Pas d’adaptation pour le moment.
- La dune – Pas d’adaptation pour le moment.
- Sale gosse – Pas d’adaptation pour le moment.
- Une mort – Pas d’adaptation pour le moment.
- Église d’ossements – Pas d’adaptation pour le moment.
- Morale – Pas d’adaptation pour le moment.
- Après-vie – Pas d’adaptation pour le moment.
- Ur – Pas d’adaptation pour le moment.
- Herman Wouk est toujours en vie – Pas d’adaptation pour le moment.
- À la dure – Pas d’adaptation pour le moment.
- Billy Barrage – Pas d’adaptation pour le moment.
- Mister Yummy – Pas d’adaptation pour le moment.
- Tommy – Pas d’adaptation pour le moment.
- Le petit dieu vert de l’agonie – Pas d’adaptation pour le moment.
- Ce bus est un autre monde – Pas d’adaptation pour le moment.
- Nécro – Pas d’adaptation pour le moment.
- Feux d’artifice imbibés – Pas d’adaptation pour le moment.
- Le tonnerre en été – Pas d’adaptation pour le moment.
- Cookie Jar – Pas d’adaptation pour le moment.
Laurie – Pas d’adaptation pour le moment.
Élévation – Pas d’adaptation pour le moment.
Si ça saigne – Plusieurs adaptations.
- Le téléphone de M. Harrigan – Sans aucun doute ma nouvelle préférée de ce recueil ! Elle a été adaptée par John Lee Hancock, en 2022. Donald Sutherland incarne à merveille le vieil homme, face au jeune Jaeden Martell, révélé dans la série Stranger Things. Le film est aussi poignant et terrifiant que la nouvelle.
- La vie de Chuck – Mike Flanagan a réalisé une adaptation de cette nouvelle qui sera présentée au festival du film de Toronto en septembre 2024. J’espère que le film arrivera vite sur les écrans français !
- Si ça saigne –
- Rat –
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Stephen King et J. J. Abrams ont produit la série Castle Rock qui se trouve à la croisée des différents texte du Stephen King Universe. Castle Rock est la ville créée par le King, située dans le Maine et théâtre de très nombreux romans.
Saison 1 – Un jeune homme est retrouvé dans une cage, dans les sous-sols de la prison de Shawshank. Le Kid, comme on l’appelle, ne veut voir que l’avocat Henry Deaver. Il est joué par Bill Skarsgard, interprète flippant du tout récent Pennywise…
Saison 2 – On imagine ici la jeunesse d’Annie Wilkes, la terrible protagoniste de Misery. Elle est ici mère d’une jeune fille, en fuite constante et sujette à de terribles bouffées paranoïaques héritées d’un passé douloureux. Lizzy Caplan est épatante dans ce rôle borderline ! Et le final de la saison est fabuleux !